Frankie Stein et Mélodie Caver arrivent au lycée de Merston High. Bien décidées à se faire des amies, elles devront pourtant faire face aux préjugés et aux rivalités qui peuplent le monde des normies et des RAD (= Résistants à l'Apparence Dominante).
CRITIQUE
Comment passer à côté de ce livre, alors que Castelmore a lancé une vaste campagne publicitaire pour la promotion de cette saga ? Ayant également vu le dessin animé sur YouTube, j'ai voulu me lancer dans ce livre. Alors, qu'en ais-je pensé ?
L'histoire se centre sur deux jeunes filles : Frankie Stein et Mélodie Caver. Elles entrent toutes les deux au lycée de Merston High et vont tenter de s'intégrer malgré leurs différences.
A partir de deux personnages complètement différents (Frankie est fille de monstre, tandis que Mélodie est une adolescente tout à fait normale, une "normie"), Lisi Habbison parle de la délicate période de l'adolescence et toutes les difficultés qu'elle engendre : l'amitié, l'amour, l'acceptation de soi et des autres. Et on se rend compte que quelle que soit la "race", les préoccupations sont exactement les mêmes ! L'auteure aborde à merveille ces problématiques.
Cependant, comme il s'agit d'une lecture pour ados, j'ai trouvé bizarre que des filles se disputaient pour un mec. Peut-être parce que je ne suis jamais tombée amoureuse, mais deux filles qui se crêpent le chignon pour un garçon... Je ne sais pas, j'ai toujours trouvé ça trop bizarre !
Ensuite, les clichés abondent dans ce premier tome : la peste de service, l'amie-traître, l'intello, le beau gosse, etc. Même chez les monstres, les clichés se ramassent à la pelle !
Mais Monster High est un livre en parfait accord avec notre époque : Lisi Habbison parle du contexte culturel très d'actualité, que ce soit au niveau musique, marques de vêtements, etc. J'ai trouvé ça vraiment sympa et parfaitement en accord avec la génération actuelle !
En bref, un livre pour ados branchés très facile à lire, avec de bons et de mauvais points. Je lirais avec plaisir le tome 2 qui sort le 10 Juin chez Castelmore.
NOTE
3/5
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